Ana Gallardo vous invite à créer une œuvre ! Artiste en résidence à Tourinnes-la-Grosse durant les fêtes de la Saint-Martin Ana…
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Expositions 2012
Résidence d’artiste
Ateliers et parcours d’artistes
Les Fêtes de la Saint-Martin, c’est l’histoire de la passion d’un homme « qui faisait des étoiles avec de la…
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Expositions
Les Fêtes de la Saint-Martin proposent chaque année en novembre un ensemble d’expositions officielles (art contemporain), des ateliers et un…
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art et marges musée – Vahan Poladian
Vahan Poladian pourrait, lui aussi, interpréter une pièce de théâtre. Il récupérait toutes sortes d’objets hétéroclites avec lesquels il composait des costumes scintillants rehaussés de moult accessoires : festons, broches, médailles, chapeaux, boucles… Il les a revêtus au cours de parades quotidiennes dans les rues de Saint-Raphaël en France.
art et marges musée – Dominique Théâte
Explorant une autre forme d’enchevêtrement, Dominique Théâte se dessine sur des images d’autres personnes, dans d’autres vies. Il se met en scène et se superpose sur chacun. Ses dessins sont autant de vies rêvées, comme on imagine qu’un comédien prête ses traits et vit un temps avec chacun de ses personnages.
art et marges musée – Dominique Vrancken
De la ligne de vie que l’on tente de devancer en se projetant sur sa fin, l’enchevêtrement de lignes, lui, nous refixe en un point. En un temps, peut-être le milieu de la vie. Ainsi, dense, haché ou étroit, le trait de Dominique Vrancken est partout. Il dessine des couches de gens superposés sur un même support en une concentration étourdissante.
L’étranger. L’autre. Celui qui nous habite.
Commissaire: Juan Paparella Qui est un étranger? Dans sa propre terre on est aussi étranger qu’ailleurs. Par rapport à soi-même…
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Ana Gallardo
Des imbrications d’individualités survenant de l’autoportrait, nous voici vers celles que suggère une représentation collective. Partons du groupe pour sonder les plis et replis des êtres, plus ou moins seuls et étrangers les uns des autres. Sur une danse typique du Mexique, des générations se mêlent.
Hélène Amouzou
C’est encore le rapport à soi et aux autres mais il n’y a plus de miroir. Il y a une femme seule. Apprivoisant progressivement l’idée de l’autoportrait, Hélène s’est photographiée, la plupart du temps à bout de bras. D’où vient ce corps, plein ou fragmenté, dénudé ou vêtu d’une robe qui se confond avec le papier peint abimé d’un grenier ?
Les sœurs Martin
Cette fois, de l’autre côté du miroir, sur un fond de tapisserie en dominante rouge amarante éclairci par les cristaux d’un lustre à l’avant-plan ; deux femmes masquées se confondent avec leurs reflets. Leur similitude est troublante, leurs corps sont aussi diaphanes que des reflets à la surface du verre. Leurs croisements génèrent la création de motifs dont les formes se mêlent à la tapisserie.
Michel Clerbois, Juan Paparella
Paradoxalement insistant et mouvant, cet homme au visage imperceptible mais dont on imagine le regard porté sur nous pourrait se dégager de ce temps étrange, la nuit. Double fantasmé qui interroge les lignes d’une vie, Il est un mirage qui questionne l’œil, ce lien entre nous et le monde, dont on ne sait plus trop où il commence et où il finit.
Michel Clerbois
Alors que l’esprit muse dans des images qui n’existent que pour soi, ces autoportraits dessinés au marqueur sur des miroirs nous aspirent dans des explorations visuelles à la surface du miroir. Ou de l’autre côté ? Ce serait l’envers de l’identité, l’autre part de soi ? L’homme arbore un demi-sourire, un clin d’œil connivent et porte une main à l’avant-plan comme pour toucher ou retenir la surface du miroir.
Juan Paparella
La sensation d’un univers parallèle aux contours incertains nous ramène précisément à l’état de confusion qui précède le réveil : ce sommeil plus ténu où pointe la conscience de l’activité différente du corps. Ce temps de conscience du sommeil est un entre-deux où l’esprit erre d’une image à l’autre.
Stephan Balleux
Sa peinture un peu mutante génère une inquiétante étrangeté. La sensation prend forme dans le sentiment d’imprécision et de mouvement qui résulte de la présence du flou. Ensuite, elle s’installe dans l’impression de percevoir à la fois du connu, du reconnaissable, donc rassurant, et de l’inconnu, singulier et interpellant. Cette peinture brasse tant de questionnements sur la présence des choses, la perception, l’interprétation, les sentiments.